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L’ensemble des Ingénieurs-Consultants de ARCHIMEDE EPL présentent des caractéristiques communes qui forment un socle à la « culture » de l’entreprise.

Les collaborateurs de l’entreprise ont en commun les points suivants :

• Une expérience opérationnelle de l’entreprise : leur expérience passée comporte nécessairement le passage par un poste opérationnel dans une entreprise de production, de services ou d’Ingénierie. Un Consultant qui n’a fait que du conseil dans sa vie professionnelle, ne peut pas correctement évaluer les attentes de ses interlocuteurs dans l’entreprise.
• Les chefs de mission ont nécessairement eu des responsabilités de management général au cours de leur expérience. Pour que leur dialogue avec le Chef d’Entreprise ou le Directeur de Division concerné par nos missions s’établisse à un niveau de compréhension des difficultés et des attentes de nos clients, il est nécessaire que celles-ci aient été expérimentées dans sa vie personnelle par celui qui est en charge de l’atteinte des objectifs de la mission au sein de ARCHIMEDE EPL.
• Une conséquence des deux points précédents est qu’aucun Ingénieur-Consultant de ARCHIMEDE EPL ne peut être débutant.
• Une autre conséquence est que, dans des missions de financement de l’innovation, ne pourront pas être Consultants, un Chercheur ou un Expert-Comptable. Il faudra en revanche qu’un dialogue parfaitement fluide puisse s’établir entre l’Ingénieur-Consultant, l’ensemble des acteurs de l’entreprise, y compris d’éventuels Chercheurs et Experts-Comptables…
• Le chef de mission et les Ingénieurs-Consultants doivent tenir leur rang dans la mission qui leur est assignée par notre client. Une mission de financement de l’innovation n’a par exemple pas de portée stratégique, quand bien même elle ne peut se désintéresser de visées de cette nature, par destination. Une mission peut, par ailleurs, être délimitée sur un objectif ou un outil donné (par exemple, une mission d’obtention d’un Crédit d’Impôt Recherche). Dès lors, les intervenants de la mission ARCHIMEDE EPL devront ne pas perdre de vue que leurs préconisations doivent s’inscrire dans un contexte plus global pour lequel ARCHIMEDE EPL n’est pas missionnée : assurer la cohérence de la politique fiscale de la société cliente, par exemple. On retrouve ainsi l’intérêt de confier la responsabilité de telles missions à des Ingénieurs pourvus d’un solide passé opérationnel dans lequel ils ont eu à prendre des décisions globales.
• La base de la culture d’entreprise de ARCHIMEDE EPL est, par ailleurs, la primauté du service au client sur quelque objectif interne que ce soit.

Nous résumons cela dans l’expression « mon client a toujours raison », sachant que si nous ne pouvons pas vérifier cette affirmation, nous sommes obligés de nous séparer… Dans la pratique, le seul cas que nous connaissions où nous sommes obligés de faire ainsi, est celui de clients qui ne nous règlent plus…

Beaucoup des missions de ARCHIMEDE EPL portent sur le financement de l’innovation.

Celles-ci tournent autour de deux types d’aides, les unes « a priori », obtenues avant le début d’un projet (BPI…), les autres « a posteriori » obtenues sur la base des dépenses réelles exposées dans le cadre de projets anticipés ou pas : la mesure emblématique dans ce domaine est le Crédit d’Impôt Recherche.

Il nous semble important, par rapport à ces mesures, et notamment par rapport à la dernière d’entre elles, de préciser leur nature ainsi que la conception que nous en avons afin d’expliquer notre déontologie sur nos actions dans ce domaine.

Ainsi, le Crédit d’Impôt Recherche, le Crédit d’Impôt Innovation, le statut de Jeune Entreprise Innovante, et toutes les formes de « subventions » assimilées, ne constituent pas à nos yeux :

• De niches fiscales (nous ne connaissons pas d’Entrepreneurs qui aillent par exemple exposer volontairement 70 % de dépenses de R&D non subventionnées, pour bénéficier de 30 % de Crédit d’Impôt Recherche sur la question !).
• De mesures de réduction des coûts : réduire des budgets pour réduire des coûts est contradictoire avec une notion de « subvention ».
• En s’appuyant sur le Crédit d’Impôt Recherche, nous nous appuierons plutôt sur la conception qu’en ont eu les promoteurs en 1983 : cette « subvention » permet à l’Etat de contribuer aux risques pris par les entreprises dans leurs expérimentations. L’éligibilité de bien des domaines des développements expérimentaux mis en oeuvre dans les entreprises saute ainsi aux yeux dans la définition de telles subventions…

• Un conseil opérationnel : notre équipe réalise intégralement les dossiers nécessités par l’exécution des missions qui nous sont confiées. Ce n’est pas ce qui l’empêche de prendre une posture de formateur le cas échéant, mais c’est ce qui évite de clore une mission de simple préconisation, sans validation sur le terrain.
• Nos missions ne sont en général pas à visée stratégique. S’il y a des options à prendre, nous nous devons de les présenter à nos clients, et de ne pas décider à leur place.
• De manière générale, et sans dérogation possible, nous ne souhaitons pas être mandataires de nos clients. ARCHIMEDE EPL met en scène une équipe d’Ingénieurs-Conseils, sous-traitante de son client donneur d’ordre, auprès duquel l’obligation de moyens est totale.

Dans toute mission acceptée par ARCHIMEDE EPL auprès de ses clients se profilent, sur la base des préconisations faites par notre cabinet, des risques et des opportunités pour nos clients.

Ils concernent de multiples domaines : industriel, logistique, commercial, fiscal… selon le type de mission qui est confiée par le client.

Il est utile de se souvenir que les notions de risque et d’opportunité sont indissociables.

En matière de gestion d’entreprise, comme dans la plupart des domaines de la vie courante, il est en effet possible de résumer la situation en affirmant qu’une politique sans risque est une politique sans chance… et nous faisons nôtre la maxime de Franklin D. Roosevelt : « Les seules limites de nos réalisations de demain, ce sont nos doutes et nos hésitations d’aujourd’hui ».

Tous nos clients n’ont en revanche pas la même culture du risque, et de multiples facteurs, souvent facilement lisibles dans le portrait-robot Stratégie / Organisation / Culture du client, permettent de définir le niveau souhaité par le client lui-même, dans le domaine d’une prise en compte sécuritaire ou plus risquée de ses options dans la réalisation des missions qu’il nous confie.

Lorsque ARCHIMEDE EPL entame une mission pour un nouveau client, si la mission nécessite une mise au point du niveau de risque ou de sécurité demandé dans le cadre de la culture d’entreprise de notre client, une réunion spécifique est consacrée à cette évaluation. Au fur et à mesure de l’exécution de la mission, des réunions de restitution portant sur les résultats atteints et la manière de les obtenir font référence au niveau de sécurité demandé par l’entreprise cliente. Au fur et à mesure de l’avancement de la mission, ces notions de risque et d’opportunité peuvent être ré-évaluées à l’aune des évolutions internes de l’entreprise cliente et des résultats de la mission confiée à ARCHIMEDE EPL.

Le fonctionnement de toute organisation humaine est fondamentalement systémique. Il n’est donc pas surprenant qu’en menant une mission dans un domaine délimité, l’équipe intervenante soit obligée, au minimum, de s’informer sur des domaines connexes ou contributifs au résultat de la mission. Il s’agit là d’une condition inévitable pour l’obtention d’un conseil de qualité, notamment dans les domaines financiers et fiscaux.

L’expérience et la polyvalence des Ingénieurs-Consultants, et notamment du chef de mission ARCHIMEDE EPL, font que l’ensemble des facteurs qui peuvent agir sur le résultat de la mission seront au moins évoqués avec le client, et non passés sous silence.

On peut citer un exemple classique : dans une mission d’obtention de Crédit d’Impôt Recherche, les points suivants seront analysés et feront éventuellement l’objet de préconisations :

• Aspects comptables, avec une éventuelle activation des frais de recherche et de développement, si le client la pratique,
• Influence de la Propriété Industrielle ; quels types de protection envisagés ?
• Aspects internationaux (agrément de filiales…),
• Relation avec les documents à fournir aux IRP lorsqu’ils existent…
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